Sunday, March 11, 2007

une

je suis tombé de ma fureur, la fatigue me défigure,
mais je vous aperçois encore, femmes bruyantes, étoiles
muettes, je vous apercevrai toujours, folie.
et toi, le sang des astres coule en toi, leur lumiére
te soutient. sur les fleurs, tu te dresses avec les fleurs,
sur les pierres avec les pierres.
blanche éteinte des souvenirs, étalée, étoilée, rayon-
nante de tes larmes qui fuient. je suis perdu.


paul eluard

2 comments:

Anonymous said...

i think, well i think i think beacouse may be i am just repeating something i have heard and i am thinking that i have think that, this happens all the time with politicians catholics,
al-catolics excusme.

Ok, i will let you alone, but remember me when you think you are thinking, you are just repeating

Anonymous said...

guaynot, no tengo la clave ni nada, y nose, creo que habria que replantear un poco el exito qeu esta teniendo